Parce que même si mes grands-parents ont commencé à cultiver en bio en 1970, nous sommes loin d’être parfait, et manquons de cohérence dans certains faits, car, oui, nous avons préféré notre confort et rêvé à l’absence de pénibilité dans notre travail… Et moi, Céline, je m’interroge sur le parcours fait en trois générations. De
Nous étions cools. Nous savions que la fin de semaine serait un peu plus dense. Mais nous avions choisi de profiter de notre jour férié (enfin pas Carlos, car il a une passion pour la boue et la charge mentale d’une femme avec ses enfants quand il s’agit des légumes…) et craignons un peu que
Beaucoup de verdures cette semaine, puisque les salades ont traînées à pousser pour finir par télescoper la saison suivante… les aléas de l’automne où les jours courts ralentissent le rythme, où un brin de soleil accélère la croissance. Une science inexacte où les semaines ne sont que des gouttes d’eau à l’échelle du temps… Vous
Parce que même si mes grands-parents ont commencé à cultiver en bio en 1970, nous sommes loin d’être parfait, et manquons de cohérence dans certains faits, car, oui, nous avons préféré notre confort et rêvé à l’absence de pénibilité dans notre travail… Et moi, Céline, je m’interroge sur le parcours fait en trois générations. De
Le soleil accompagne les matins froids et la saison morte glisse sur nos champs, calmant les journées frénétiques. Bien qu’une superbe équipe cette année a rendu notre travail moins pénible physiquement (parce que, comme pour tous, le contexte ne laisse pas nos esprits en repos…). Les céleris sont presque rentrés et les carottes presque semées.
Un jour férié qui nous laisse nous reposer un peu. Mais tous ne sont pas livrés le mercredi, donc voici le panier d’automne de la semaine… Carottes, poireaux, fenouils… salades pour la verdure, des fois que le soleil s’invite en terrasse à défaut de se changer les idées au restaurant… panier de 12€ à partir
Parce que même si mes grands-parents ont commencé à cultiver en bio en 1970, nous sommes loin d’être parfait, et manquons de cohérence dans certains faits, car, oui, nous avons préféré notre confort et rêvé à l’absence de pénibilité dans notre travail… Et moi, Céline, je m’interroge sur le parcours fait en trois générations. De
Rentrer les céleris, déblayer les serres, préparer pour les semis de carottes et espérer en une éclaircie. Tant que les marchés restent ouverts, notre quotidien ne sera pas trop bousculé. Pas vraiment d’inquiétude, même si nous constatons une augmentation du nombre de personnes positives au covid autour de nous. Nous pensons à tous ceux qui
Même si nous n’avons pas beaucoup de courges cette année, elles s’abîment assez vite avec toute l’eau qu’elles ont reçu en septembre. Donc cette semaine, c’est au tour de la courge musquée de venir dans les paniers… Le fenouil est toujours présent, le panais s’invite dans les grand panier et le poireau, de par sa
Parce que même si mes grands-parents ont commencé à cultiver en bio en 1970, nous sommes loin d’être parfait, et manquons de cohérence dans certains faits, car, oui, nous avons préféré notre confort et rêvé à l’absence de pénibilité dans notre travail… Et moi, Céline, je m’interroge sur le parcours fait en trois générations. De