Semaine 16: on va mettre une p’tite laine…

Une semaine où nos gorges nous grattent à force de subir la panoplie météorologique de Dame Nature. Nous avons retenu les jupes des fraisiers fraichement plantés que le vent s’amusait à soulever. Nous attendons que les choux pointus finissent de s’enrouler sur eux, danse lente et hypnotique. Nous caressons nos Précieuses, prêtes à entrer dans 

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Semaine 9: répéter les schémas familiaux…

Début des vacances scolaires. Début des travaux forcés pour mes 2 adolescentes. Comme un goût de vengeance, 30 ans après y être passée (et avoir tout autant trainé des pieds devant l’obligation pendant que les potes partaient en vacances)… même si je dois avouer, elles râlent beaucoup moins maintenant que l’été dernier. Le but premier 

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Semaine 49: glisser vers le calme…

Le ciel, chez nous, se décore d’une belle structure de tubes métalliques. Doucement, la serre s’érige entre deux anciennes. Pour une fois, nous participons peu à son montage. Nous n’en apprivoisons pas les contours. Cela viendra plus tard, quand nous l’envahirons, la féconderons. Elle nous livrera ses secrets, nous murmurera ses espoirs. La terre est 

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Semaine 47: plus beaucoup de dodos avant Noël…

Ce matin, nous pensons aux carottes. Parce que oui, nous avons oublié de les semer. Un retard sans réel impact à cette époque. Mais c’est la dernière chose à semer. Il ne restera que les choux à planter, et nous aurons fermé le livre cultural de 2021. Le mode rangement est enclenché. Même ma fille 

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Semaine 20: travaux saisonniers…

Pour le moment, nous attendons le créneau où le vent aura assez asséché le sol pour semer les betteraves, les pissenlits et les fenouils. Bien sûr, nous pouvons toujours finir de couper la salade pour planter la 2e saison de tomates, pendant que la dernière lève tranquillement dans ces barquettes à poisson. Les melons attendent 

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La vie passée : les vacances

Parce que même si mes grands-parents ont commencé à cultiver en bio en 1970, nous sommes loin d’être parfait, et manquons de cohérence dans certains faits, car, oui, nous avons préféré notre confort et rêvé à l’absence de pénibilité dans notre travail… Et moi, Céline, je m’interroge sur le parcours fait en trois générations. De 

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