Semaine 48: et bientôt l’année se finira…

La mairie de Maisons Laffitte nous a ordonné d’arrêter le libre service. Bien ? Pas bien ? Peu importe. Maintenant, il y a plus d’attente, moins de personnes servies, nous nous touchons un peu plus, avons une extinction de voix le soir à force de monter le ton pour se faire entendre et comme il a fallu 

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La vie passée: le travail des enfants

Parce que même si mes grands-parents ont commencé à cultiver en bio en 1970, nous sommes loin d’être parfait, et manquons de cohérence dans certains faits, car, oui, nous avons préféré notre confort et rêvé à l’absence de pénibilité dans notre travail… Et moi, Céline, je m’interroge sur le parcours fait en trois générations. De 

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Semaine 47: place au bricolage…

Nous étions cools. Nous savions que la fin de semaine serait un peu plus dense. Mais nous avions choisi de profiter de notre jour férié (enfin pas Carlos, car il a une passion pour la boue et la charge mentale d’une femme avec ses enfants quand il s’agit des légumes…) et craignons un peu que 

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La vie passée: les débuts de la chimie

Parce que même si mes grands-parents ont commencé à cultiver en bio en 1970, nous sommes loin d’être parfait, et manquons de cohérence dans certains faits, car, oui, nous avons préféré notre confort et rêvé à l’absence de pénibilité dans notre travail… Et moi, Céline, je m’interroge sur le parcours fait en trois générations. De 

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Semaine 46: un deuxième dimanche dans la semaine…

Le soleil accompagne les matins froids et la saison morte glisse sur nos champs, calmant les journées frénétiques. Bien qu’une superbe équipe cette année a rendu notre travail moins pénible physiquement (parce que, comme pour tous, le contexte ne laisse pas nos esprits en repos…). Les céleris sont presque rentrés et les carottes presque semées. 

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La vie passée: l’enfance

Parce que même si mes grands-parents ont commencé à cultiver en bio en 1970, nous sommes loin d’être parfait, et manquons de cohérence dans certains faits, car, oui, nous avons préféré notre confort et rêvé à l’absence de pénibilité dans notre travail… Et moi, Céline, je m’interroge sur le parcours fait en trois générations. De 

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